Après avoir passé quelques jours à profiter de la plage de Mui Ne et des superbes paysages environnants, nous voici à Saigon, ancienne capitale du Sud Vietnam durant la guerre. Elle s’appelle désormais Ho Chi Minh City, mais beaucoup l’appellent encore Saigon.
La ville est le centre économique du pays. Nous avions écrit un article “Hanoï : capitale de la mobylette”, c’est plutôt “Saigon : capitale de la mobylette”. La ville est très moderne comparée aux autres villes où nous avons séjourné au Vietnam.
Le premier jour, nous décidons d’explorer la ville à pied. Dès 9h du matin (le soleil se lève vers 6h ici), il fait déjà super chaud. Vers 14h, nous sommes complètement liquéfiés et un peu assommés par la chaleur. Ici, mieux vaut décaler ses journées vers le matin pour profiter d’un peu de fraîcheur. Le moindre ventilateur, climatiseur ou même petit courant d’air est apprécié avec délice 😎 !
Le soir, nous retrouvons Khoi, un ancien collègue de Brunève, vietnamien d’origine qui a monté son entreprise ici. Il nous emmène dîner dans un délicieux restaurant où nous dégustons des spécialités de Hué 😛 .
Le deuxième jour, nous profitons de la capitale pour faire des courses et régler quelques formalités. Nous retrouvons à nouveau Khoi dans la soirée pour déguster une autre spécialité vietnamienne : un délicieux banh xeoh, sorte de grande crêpe que l’on brise en morceaux avant de la rouler dans des feuilles de salade ou de wasabi.
Nous n’avons pas trop eu le temps d’explorer Saigon en profondeur. Nous gardons cependant un souvenir ému de nos différentes expériences culinaires et des deux agréables soirées passées en compagnie de Khoi, que nous remercions chaleureusement pour son accueil.
14 April 2009 à 13:44
ouaaaaii Khoi mon ami trop bieng que vous ayez pu vous voir ^^ dommage que vous n’ayez pas pu rester plus longtemps à Saigon. Bon juste une petite rectification, les affiches ne sont pas des “vestiges du communisme”, puisque le communisme est toujours en place ^^’ Même si le parti a dû s’adapter au mercantilisme pour rester, la propagande et le contrôle de l’expression sont toujours de mise…